1968 : LES AUTRES 24 HEURES DÉCALÉES

PAUL FEARNLEY- LAT ARCHIVES / THE CAHIER ARCHIVES- Reportage paru dans Spirit of Le Mans #15

SIFFERT QUI BRÛLE LES PLANCHES, MAURO BIANCHI QUI SE BLESSE ET SE BRÛLE, HENRI PESCAROLO QUI ROULE EN MATRA SOUS LE DÉLUGE SANS ESSUIE-GLACE… ET LA FORD GT40 DE RODRIGUEZ ET BIANCHI (LUCIEN) QUI S’IMPOSE À L’ISSUE D’UNE ÉPREUVE CAUCHEMARDESQUE. PAUL FEARNLEY RACONTE CETTE ÉDITION QUE L’ON NE SOUHAITE À AUCUN PILOTE EN SEPTEMBRE PROCHAIN.

En mai 1968, à Paris, le Summer of Love demande le divorce. Dans les rues de la capitale, l’amour, c’est de l’histoire ancienne. On se bat dans le Quartier Latin et les tanks sillonnent les banlieues. La grève est générale et De Gaulle file discrètement en Allemagne pour s’assurer du soutien de l’armée. Il faudra bien des promesses – durement arrachées – de hausses de salaires et de nouvelles élections pour que tout cela se calme. Mais c’est trop tard pour sauver les 24 Heures du Mans prévues, comme chaque année, en juin.

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SPIRIT OF LE MANS #15

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